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Attaques contre SOS Chrétiens d’Orient :

stop aux manipulations politiques de Médiapart !

SOS Chrétiens d’Orient dénonce un cas de manipulation politique flagrant et grotesque de la part de Médiapart, et appelle à dévoiler les vieilles ficelles  de ces commissaires politiques.

 

À la suite d’un article paru le 17 février 2022, SOS Chrétiens d’Orient a appris par Médiapart qu’une enquête préliminaire aurait été ouverte après la parution d’articles, en 2021, du même organe, prétendant que SOS Chrétiens d’Orient serait complice de « crimes de guerre ». Ceux-ci auraient été commis en 2012 (on notera que l’association n’existait pas à cette date) par les groupes d’autodéfense de deux villages chrétiens de Syrie assiégés et bombardés par le groupe Jaich Al Ezza, émanation d’Al Qaida en Syrie.

 

A l’époque, SOS Chrétiens d’Orient avait publié un démenti formel à ces allégations mensongères et haineuses, motivées par des objectifs politiques. Aujourd’hui encore, il suffit de lire l’article de Médiapart de ce 17 février  pour constater que l’essentiel du contenu porte sur la dénonciation des idées réelles ou supposées des uns et des autres et non sur les faits prétextés (moins de 1/5e de l’article). 

 

Procès politique : les méthodes de Médiapart sont toujours les mêmes

 

Il s’agit en fait d’un nouveau procès politique et médiatique, mené par les mêmes pigistes d’un organe subventionné, qui vire au harcèlement et à la dénonciation calomnieuse. En violation de toutes les règles déontologiques du journalisme, ces pigistes s’enorgueillissent dans leur article de ce 17 février 2022 d’être à l’origine d’une telle enquête et même d’y avoir participé en tant que « témoins » d’on ne sait quoi, ni les uns ni les autres ne s’étant jamais rendus dans cette zone. 

 

Preuve supplémentaire du caractère politisé de cette attaque : les pigistes de Médiapart ont attendu plus de quatre mois après leur prétendue audition pour publier cet article, dont les ¾ ne visent qu’à dénoncer… le candidat Eric Zemmour, supposé proche de SOS Chrétiens d’Orient !  

 

Comme dans l’affaire Fillon, pour ne prendre qu’un exemple, Médiapart s’empare d’un sujet pour attaquer une personne ou une structure qui lui déplait, en mettant les juges sous pression afin qu’ils donnent une suite judiciaire à cette enquête. Ils relaient ensuite largement l’information de la procédure, dont le résultat importe peu puisque le mal est fait : la réputation de leur ennemi est entachée.

 

SOS Chrétiens d’Orient est innocente de ce dont Médiapart l’accuse.

 

SOS Chrétiens d’Orient, qui n’est pas informée d’une enquête à son sujet ; répondra sereinement aux éventuelles questions que souhaiteraient lui poser les enquêteurs, à supposer que cette enquête existe réellement, car elle n’a jamais été complice de quelque crime que ce soit.

 

L’action de SOS Chrétiens d’Orient vise à aider et sauver les personnes menacées et persécutées. A Mhardeh comme ailleurs, SOS Chrétiens d’Orient a distribué des médicaments et de la nourriture à des populations régulièrement soumises aux attaques et bombardements du groupe Jaich Al Ezza, émanation d’Al Qaida en Syrie. (on notera d’ailleurs que c’est dans la région d’Idlib, proche de Mhardeh, que les deux derniers chefs de Daech ont été tués). 

 

Face à la menace représentée par ce groupe djihadiste, les habitants de Mhardeh et Squelbyeh ont été contraints d’abandonner leurs activités professionnelles pour se défendre. SOS Chrétiens d’Orient a agi d’un point de vue strictement humanitaire en répondant aux besoins vitaux de ces populations qui se sont trouvées démunies.

 

SOS Chrétiens d’Orient, qui a envoyé plus de 2 500 volontaires sur le terrain, travaille dans la plus stricte légalité dans tous les pays où elle est présente et son travail est partout reconnu et salué.  SOS Chrétiens d’Orient, fidèle à ses engagements, « pleure avec ceux qui pleurent » et rendra toujours témoignage à la vérité de son expérience de terrain, à Mhardeh comme ailleurs.

 

Les dirigeants de SOS Chrétiens d’Orient sont à disposition des journalistes pour répondre à toutes leurs questions.

Votre responsablede pôle

Jeanne der Agopian

Directrice de la communication adjointe