En tant que partenaire de J’aime ma Boîte, SOS Chrétiens d’Orient participe à la Fête des Entreprises qui aura lieu le 21 octobre 2021. Cette fête est l’occasion de revenir sur la situation des chrétiens d’Orient et d’insister sur le rôle décisif de l’entreprise dans la pacification des rapports entre communautés. Véritables vecteurs de coopération et d’entraide, les entreprises offrent à leurs employés des ressources économiques durables, afin de les aider à vivre sur leurs terres. Elles permettent également de montrer le rôle positif des chrétiens d’Orient, qui fournissent du travail ou des services à l’ensemble des communautés présentes dans un pays. A terme, le monde de l’entreprise permet aux différentes communautés de nouer des liens, de comprendre l’importance de l’autre et l’intérêt, même prosaïque, qu’elles ont à cohabiter pacifiquement.
SOS Chrétiens d’Orient mène plusieurs projets de développement économique et de réinsertion professionnelle auprès de ceux ayant tout perdu à cause de la guerre ou des persécutions. L’association aide notamment à créer et construire des entreprises, permettant l’enracinement des chrétiens sur leur terre et la cohabitation pacifique avec les autres communautés.
Deux exemples, parmi bien d’autres :
-A Karamlesh, dans la plaine de Ninive, en Irak, SOS Chrétiens d’Orient permet l’insertion professionnelle de nombreux jeunes afin de relancer l’activité économique. Plusieurs formations sont proposées, aussi bien aux hommes qu’aux femmes, dans des domaines variés : construction, électricité, couture et coiffure.
-A Ramousseh, dans la zone industrielle d’Alep, en Syrie, les magasins ont été détruits par la guerre. Les commerçants n’ont jamais pu reprendre leurs activités. Le contexte de la crise économique amplifie la pauvreté des habitants. SOS Chrétiens d’Orient participe à la reconstruction de ces magasins, permettant ainsi à plusieurs familles de vivre de leurs revenus.
Joseph, qui réparait des voitures avant la guerre en Syrie, témoigne : « Quand les terroristes sont arrivés, on a dû partir en laissant tout derrière nous. Je n’ai pas d’enfant et mon magasin, c’est comme mon fils, je l’ai construit moi-même. Grâce à SOS-CO, c’est une nouvelle vie qui commence. A chaque fois que j’allais voir mon magasin détruit j’étais déprimé, aujourd’hui, je suis rempli d’espoir quand je le vois. »
Nous sommes à votre disposition pour détailler nos autres projets et notre vision du rôle de l’entreprise dans la cohabitation pacifique des communautés.
